hubert ducou le pointe

Interview du directeur de la maison des Provinces de France

Parlez-nous de votre parcours et de votre arrivée à la Cité internationale.

Médecin radiologue à l’Assistance Publique-Hôpitaux de Paris et professeur des Université à Sorbonne Université, il s’est investi dans les relations internationales dès le début de sa carrière. Ses fonctions au sein de la Cité internationale universitaire de Paris sont le prolongement de ses engagements et de son action.

Selon vous qu’est ce qui fait de la Cité internationale un campus unique au monde ?

La Cité internationale offre à ses résidents l’opportunité de s’ouvrir à toutes les cultures, d’étudier dans un lieu propice au travail, au développement du savoir et à l’épanouissement personnel. De plus, la Cité est un havre de paix au sein d’une mégapole, dont l’architecture mêle classicisme et modernité, et où il est possible de profiter quotidiennement d’activités culturelles et sportives.

En quoi habiter dans votre maison permet aux résidents d’avoir un autre regard sur le monde et est un tremplin pour leur avenir ?

Les événements organisés par le comité des résidents et les lieux de convivialité permettent aux résidents de la maison de rencontrer et d’échanger avec d’autres étudiants ayant des profils universitaires différents ou complémentaires. La diversité des langues, des savoirs, des expériences, des cultures et des parcours donne l’occasion à chacun d’élargir sa propre vision du monde et de ses enjeux.

Si vous deviez résumer la Cité internationale en un mot, lequel choisiriez-vous et pourquoi ?

Humanisme est le mot qui symbolise le mieux pour moi la Cité Universitaire. La Cité, par la volonté de ses fondateurs, est un lieu ouvert sur le monde, d’échanges, de savoir, d’étude et de culture. Elle permet à chaque résident de trouver librement un épanouissement personnel et d’ouvrir son champ des possibles dans le respect des autres.

Blandine Sorbe, déléguée générale de la Cité internationale

Normalienne, agrégée d’allemand, Blandine Sorbe est depuis sa sortie de l’Ecole nationale d’administration en 2011 magistrate de la Cour des comptes. Entre 2015 et 2019, elle a rejoint le musée du quai Branly comme directrice générale adjointe, assurant au quotidien la gestion de ce lieu exceptionnel et œuvrant à la qualité de sa gestion. A partir de 2019, Blandine Sorbe a fait partie des principaux dirigeants du comité d’organisation des Jeux olympiques et paralympiques de Paris 2024, où elle a supervisé en tant que directrice senior cadre public et conformité le bon déroulement de l’événement sous l’angle de la maîtrise des risques budgétaires, juridiques, éthiques, ressources humaines et opérationnels, en relation étroite avec les autorités nationales et internationales. Blandine Sorbe est membre du comité d’histoire du ministère de la culture.