Reza Kashefi Ashtiani, résident au Collège néerlandais, nous livre son point de vue sur son parcours, la Cité internationale et ses projets.
Je suis étudiant à l’Université Paris 3 Sorbonne Nouvelle. Dès mon arrivée, j’ai eu envie d’habiter à la Cité internationale. J’ai réussi à obtenir un logement à la suite du 2ème confinement car certains résidents on décidé de rentrer chez eux et donc de libérer leur appartement.
Je suis un passionné de culture et pour moi vivre à la Cité internationale avec des étudiants venant des quatre coins du monde est un grand plaisir. Malgré la Covid-19, qui limite les relations sociales, vivre à la Cité internationale est une expérience unique qui ne peut être vécue nulle part ailleurs.
Je souhaite travailler comme journaliste culturel, plus précisément sur les relations culturelles entre l’Iran et la France. Malgré des tensions politiques, il existe toujours un lien culturel très fort entre les deux pays.
Oui, bien sûr. Ici, je peux apprendre à connaître des gens d’autres pays et surtout leurs cultures.
Patrimoine !
Reza Kashefi Ashtiani
Résident au Collège néerlandais
Les résidents sur le campus sont très engagés. Ils sont invités à s’investir dans la gouvernance, la vie collective et le développement du campus et mènent de nombreux projets participatifs. Pour construire un avenir commun, ils s’engagent sur les grands enjeux du monde contemporain en bénéficiant des échanges et des rencontres qu’ils font dans leurs maisons et sur le campus.
Laboratoire d’idées et de création pour penser le monde de demain, la Cité internationale occupe une place singulière dans le paysage culturel parisien comme lieu de vie de la jeunesse internationale. Projets artistiques et écologiques collaboratifs foisonnent sur le campus.