Carole Monsaint

Interview avec la responsable d’exploitation de la Fondation Haraucourt 

Parlez-nous de votre parcours et de votre arrivée à la Cité internationale.

Après une expérience de 10 ans dans le secteur du tourisme (CLUB MED village, CLUB MED agence de voyages) où j’ai eu l’occasion de travailler dans différents pays  comme les États-Unis, le Maroc, la Tunisie ou la Turquie, je suis arrivée à la Cité internationale en 2006 . D’abord responsable planning à la Fondation Deutsch de la Meurthe puis à la Maison de l’Asie du Sud-Est, j’ai pu évoluer vers un poste de responsable d’exploitation. Je gère actuellement le Collège franco-britannique et la Fondation Haraucourt.

Selon vous qu’est ce qui fait de la Cité internationale un campus unique au monde ?

La richesse et la diversité de l’architecture dans un espace vert préservé en font un lieu d’exception. Tout est mis en œuvre dans les maisons pour que les étudiants et les chercheurs puissent étudier sereinement dans un campus qui offre une multitude de services et une ouverture sur le monde. Veiller à l’équilibre des résidents, entre leurs études et la vie extra-universitaire, est notre priorité.

Si vous deviez résumer la Cité internationale en un mot, lequel choisiriez-vous et pourquoi ?

Exceptionnel.

Un cadre de travail exceptionnel aussi bien pour les résidents que pour les salariés qui sont au service de leur bien-être.

Blandine Sorbe, déléguée générale de la Cité internationale

Normalienne, agrégée d’allemand, Blandine Sorbe est depuis sa sortie de l’Ecole nationale d’administration en 2011 magistrate de la Cour des comptes. Entre 2015 et 2019, elle a rejoint le musée du quai Branly comme directrice générale adjointe, assurant au quotidien la gestion de ce lieu exceptionnel et œuvrant à la qualité de sa gestion. A partir de 2019, Blandine Sorbe a fait partie des principaux dirigeants du comité d’organisation des Jeux olympiques et paralympiques de Paris 2024, où elle a supervisé en tant que directrice senior cadre public et conformité le bon déroulement de l’événement sous l’angle de la maîtrise des risques budgétaires, juridiques, éthiques, ressources humaines et opérationnels, en relation étroite avec les autorités nationales et internationales. Blandine Sorbe est membre du comité d’histoire du ministère de la culture.