La Cité internationale, malgré la Covid-19, est une expérience unique qui ne peut être vécue nulle part ailleurs

Reza Kashefi Ashtiani, résident au Collège néerlandais, nous livre son point de vue sur son parcours, la Cité internationale et ses projets.

Peux-tu nous raconter ton parcours et ton arrivée à la Cité internationale ?

Je suis étudiant à l’Université Paris 3 Sorbonne Nouvelle. Dès mon arrivée, j’ai eu envie d’habiter à la Cité internationale. J’ai réussi à obtenir un logement à la suite du 2ème confinement car certains résidents on décidé de rentrer chez eux et donc de libérer leur appartement.

Qu’est ce qui t’a motivé à intégrer la Cité internationale ?

Je suis un passionné de culture et pour moi vivre à la Cité internationale avec des étudiants venant des quatre coins du monde est un grand plaisir. Malgré la Covid-19, qui limite les relations sociales, vivre à la Cité internationale est une expérience unique qui ne peut être vécue nulle part ailleurs.

Quels sont tes projets et objectifs futurs ?

Je souhaite travailler comme journaliste culturel, plus précisément sur les relations culturelles entre l’Iran et la France. Malgré des tensions politiques, il existe toujours un lien culturel très fort entre les deux pays.

Penses-tu que ton séjour à la Cité internationale soit un tremplin pour ton avenir ?

Oui, bien sûr. Ici, je peux apprendre à connaître des gens d’autres pays et surtout leurs cultures.

Si tu devais résumer la Cité internationale en un mot, lequel choisirais-tu ?

Patrimoine !

Reza Kashefi Ashtiani
Résident au Collège néerlandais