Gurtegh Singh, résident à la Résidence Robert Garric, nous livre son point de vue sur son parcours, la Cité internationale et ses projets.
Je suis arrivé à la Cité internationale en septembre 2017. J’ai été très heureux d’être accepté à l’Université Paris 1 Panthéon Sorbonne et d’obtenir un logement à la Résidence Robert Garric. Les premiers mois ont été un voyage de rencontres avec des gens du monde entier.
La Cité internationale est un lieu où des personnes de différentes nationalités, et qui étudient dans des domaines différents, cohabitent. Je voulais faire partie de ce mélange de personnes qui croient au fait de vivre ensemble, indépendamment de leurs parcours. Je voulais aussi découvrir comment des étudiants de différentes nationalités vivent leur vie quotidienne et comment ils se perçoivent.
Je veux travailler dans une organisation de développement travaillant sur des études de genre. Je voudrais travailler en France pour les prochaines années en tant qu’assistant de recherche ou conseiller en développement.
Je crois vraiment que vivre avec un groupe d’étudiants aussi diversifié m’expose à plus d’options de carrière qu’habiter avec une seule personne. Je pense que vivre ici m’a rendu confiant et indépendant pour vivre et travailler. Par conséquent, j’estime que cet endroit a été un camp d’entraînement pour mon lancement dans la vie professionnelle.
Nostalgique
Gurtegh Singh
Résident à la Résidence Robert Garric
Les résidents sur le campus sont très engagés. Ils sont invités à s’investir dans la gouvernance, la vie collective et le développement du campus et mènent de nombreux projets participatifs. Pour construire un avenir commun, ils s’engagent sur les grands enjeux du monde contemporain en bénéficiant des échanges et des rencontres qu’ils font dans leurs maisons et sur le campus.
Laboratoire d’idées et de création pour penser le monde de demain, la Cité internationale occupe une place singulière dans le paysage culturel parisien comme lieu de vie de la jeunesse internationale. Projets artistiques et écologiques collaboratifs foisonnent sur le campus.