Gouvernance
de la Fondation suisse

Parlez-nous de votre parcours et de votre arrivée à la Cité internationale.

Après des études d’Islamologie, de Sociologie et d’Anglais à l’Université de Berne (Suisse), j’ai enseigné durant plusieurs années à l’Institut d’études islamiques de ce même établissement, tout en poursuivant ma thèse de doctorat. Dans le cadre de celle-ci, j’ai effectué des séjours de recherche au Caire. Après l’obtention de ma thèse, j’ai bénéficié d’une bourse « politique et science », qui m’a permis de travailler pour le Parlement fédéral suisse. Entre 2011 et 2015, j’ai occupé le poste de conseillère scientifique, puis de cheffe suppléante, au sein de la division des relations internationales du Secrétariat d’Etat à la formation, à la recherche et à l’innovation de la Confédération suisse.

Selon vous qu’est ce qui fait de la Cité internationale un campus unique au monde ?

Issue d’une famille plurinationale, passionnée par les langues et les voyages et sensible aux questions de migration et de paix, la diversité culturelle et la promotion de la tolérance me tiennent tout particulièrement à cœur. La Cité internationale m’apparaît comme le lieu idéal pour vivre et expérimenter la diversité en encourageant, à travers les échanges entre résidentes et résidents, la création d’un environnement respectueux qui est en accord avec les valeurs fondatrices de la Cité internationale.