Adrien Ghyselen, résident à la Maison du Liban, nous livre son point de vue sur son parcours, la Cité internationale et ses projets.
Je m’appelle Adrien Ghyselen. Je viens d’un petit village près de Mons dans la petite Belgique. J’ai commencé mes études d’Histoire à l’Université Libre de Bruxelles. Depuis ma première année de bachelier (licence), j’ai toujours voulu aller étudier à la Sorbonne. J’ai attendu et une possibilité d’Erasmus d’un an pour mon Master m’a été proposée ! Comment vous dire que c’est un rêve de jeune (très jeune) adulte qui se réalise ! J’ai alors cherché un logement à Paris qui n’est pas chose aisée. La Cité internationale m’est alors apparue un peu par hasard à la suite d’une discussion avec une camarade d’étude. Après une prise de renseignement, la Cité internationale m’a très vite plu. Le 30 août, les bagages sont faits et le 1er septembre me voilà installé à la Maison du Liban en brassage.
La Cité internationale propose énormément d’activités (intellectuelle et sportive) et un cadre magnifique. Depuis mon arrivée et avec le beau temps, beaucoup de troncs d’arbres m’ont adopté pour que je puisse lire.
La Cité internationale prône une diversité qui me plaît particulièrement. Je peux découvrir le monde en restant dans un seul parc !
Mon projet au sein de la Cité internationale est la Ludothèque « God of Ludo » qui vient d’ouvrir. Mon idée a vu le jour grâce à trois autres résidents que je ne remercierai jamais assez pour le travail qu’ils effectuent ! Comme on dit : gros big up à eux.
Un de mes projets principaux est l’aide aux chiens dans les chenils. Je ne peux malheureusement pas adopter d’animaux pour le moment. Je les aide alors au maximum en parrainant des chiens. Cela permet à ces animaux d’avoir une condition de vie meilleure et ainsi favoriser leur adoption. Après mes études, je compte devenir professeur d’Histoire en Belgique dans le secondaire supérieur. Et pourquoi pas donner l’envie aux jeunes d’apprécier l’Histoire autrement. J’aimerai aussi, en plus de mon métier d’enseignant, entamer des cours pour devenir concepteur de jeux vidéo.
Je suis certain que la Cité internationale est un tremplin pour mon avenir. En effet, la Cité internationale permet de m’ouvrir encore plus au monde et d’avoir des expériences que je n’aurai jamais eu autre part. Par exemple, l’ouverture de notre Ludothèque qui va me permettre de voir comment gérer des événements de plus ou moins une vingtaine de personnes. Une classe de grands enfants qui s’amusent… mais sans professeur bien sûr !
Convivialit
Adrien Ghyselen
Résident à la Maison du Liban
Les résidents sur le campus sont très engagés. Ils sont invités à s’investir dans la gouvernance, la vie collective et le développement du campus et mènent de nombreux projets participatifs. Pour construire un avenir commun, ils s’engagent sur les grands enjeux du monde contemporain en bénéficiant des échanges et des rencontres qu’ils font dans leurs maisons et sur le campus.
Laboratoire d’idées et de création pour penser le monde de demain, la Cité internationale occupe une place singulière dans le paysage culturel parisien comme lieu de vie de la jeunesse internationale. Projets artistiques et écologiques collaboratifs foisonnent sur le campus.